Past exhibition
Mathilde Caylou presents her glass sculptures
For the Glass Biennal event 2015
Octobre 15 - November 13, 2015

Within the 2015 Glass Biennial event organized from October 15th till November 30th, 2015 by the ESGAA, the gallery presents for the third time Mathilde Caylou's works. New glass sculptures will be presented until November 13th, 2015.


Mathilde Caylou, was born in 1985. She is awarded a diploma by l'Ecole des Arts Décoratifs de Strasbourg. She is exhibited in several places as Halle du Verre de Claret, in the Gallery Bertrand Gillig, and also in Zwiesel, Germany and in Prague.

Her work concerns the relationship of the Man with the landscape, between heaven and earth. The ground is its working field, as well as a field (the ground shaped by the farmer) is the source of its work. She shapes the glass, imprisoning the air by blowing in glassworker's cane or by means of molds which she creates from hollow and from imprints she digs in the ground.

Her artwork is of a great lightness and of a rare poetic strength!

Dans le cadre de la Biennale du verre 2015 organisée du 15 octobre au 30 novembre 2015 par l’ESGAA, la galerie présente pour la troisième fois les travaux de Mathilde Caylou. De nouvelles sculptures en verre seront présentées jusqu’au 13 novembre 2015, en parallèle à l’exposition personnelle des toiles de Benoît Trimborn.

Mathilde Caylou, jeune artiste née en 1985, est diplômée de l’École Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg et d’un Diplôme National Supérieur d’Expression Plastique.  Elle expose dans plusieurs lieux comme la Halle du Verre de Claret, à la Chaufferie et aussi à Zwiesel en Allemagne et à Prague.

  

« Là où je me suis transformée en éponge

Mes objets contiennent un lieu, ce sont des objets de contemplation.

Le sol est devenu mon motif, mon moteur, parce qu’il me porte là où je suis.

Le sol d’un champ l’hiver, dans sa nudité horizontale.

Là où il y a dialogue, contact, qui laisse une trace.

Le sol nu d’un champ l’hiver, en contact brutal avec l’air.

Je moule la surface du sol d’un champ, et cette empreinte réapparaît ensuite dans mes sculptures et installations.

Le sol de ce champ l’hiver, terrain de l’hiver, terrain de l’affectif. Il m’a montré le matériau qui le constitue, la façon dont il le modèle. Il offre quantité de possibilités. »

Mathilde Caylou